Ceci n’est pas un parking…
…et pourtant
La photo ci-dessous montre un immeuble de bonne facture qu’il serait naturel de penser qu’il est agréable à habiter.
Sis à 200 m de la mer, il s’élève au centre de Sanary-sur-Mer et semble tout à fait s’adapter à la qualité de vie offerte par la ville et qui est illustrée par les nombreuses distinctions qui lui sont attribuées. La commune, d’environ 16.500 habitants, est, d’après les mentions relevées sur son site internet, certifiée ISO 9001 pour la qualité de son accueil, certifiée pour la qualité de ses eaux de baignade, classée 4ème Fleur, labellisée Ville amie des Enfants, labellisée Ville active et Sportive, labellisée Station nautique 2 étoiles, classée Commune touristique, labellisée Handiplage et classée Station de tourisme.
Une ville où il fait bon vivre donc. Mais, garante d’un cadre de vie dans lequel la pollution se doit d’être réduite, que fait-elle de la source principale de bruit, gaz à effet de serre, particules fines si dangereuses et d’une occupation de l’espace indue : vous avez compris, il s’agit de la voiture individuelle.
Bien entendu, les gens ont besoin de leur véhicule pour circuler, mais qu’en est-il du stationnement dont les statistiques indiquent qu’il « occupe » 90% de la durée de vie d’une automobile ?
Sanary propose la solution du parking en ouvrage et l’on découvre dans cette seconde photo que le bel immeuble dissimule en fait un parking silo.
Ville d’environ 54.000 habitants, Chelles, Ville amie des Enfants, Commune d’(h)onneur pour le Don du Sang, Territoire à Energie positive pour la Croissance verte, Ville active et sportive, 3ème Fleur des Villes et Villages fleuris, prix Santé et mieux-être au Travail, Prix de la Mariane d’Or pour le soutien scolaire, pourrait puiser dans cet exemple l’opportunité d’étudier l’intérêt d’un tel aménagement.
Pour sa part, Adequa propose la réalisation d’un parking à usage partagé à l’emplacement du parking du Monoprix. Nous le présenterons dans un prochain article.